…la recension de Laurent Bourdelas est la première et sera la dernière. La première parce qu’il nous est permis, à la dernière extrémité, de nous reconnaitre, la dernière parce que le Limousin, ses enfants dispersés partout sur la terre, va sortir de l’histoire où il n’était jamais à proprement parler, entré et qu’il ne contribuera plus, positivement ou par défaut, à l’histoire de la littérature ni de l’humanité.